Dans les années soixante, la DS était devenue l'emblème de la marque et Citroën avait pris une place sérieusement prometteuse dans le secteur. Belle réputation, bonnes compétences techniques et acquisition de Maserati, la marque aux chevrons avait toutes les cartes pour développer un modèle qui les propulserait dans le segment premium. Forte de ses capacités et de son partenariat, la SM naîtrait donc, chargée de savoir-faire et d'attentes, face à une clientèle aux yeux pétillants et dans le contexte économique délicat des années soixante-dix.