Alors que toute la presse (même nous) pensions que Renault allait mettre en vente une Twingo CC, la présentation cette semaine de la Renault Wind, nous a fait mentir.
Ne l'appelez pas Twingo...
Au premier coup d'il, on peut voir une certaine ressemblance avec la Twingo, surtout avec les optiques de la face avant. Mais les ressemblances ne vont pas plus loin que cette aire de famille, car pour le reste les différences sont bien là. La
décapotable se base non pas sur le châssis de la
Twingo, mais sur le châssis de la Clio 2 RS. La Wind est donc plus grande, avec 3.83 mètres de longueur.
Une première mondiale en grande série...
La
Renault Wind, c'est d'abord un toit rigide rotatif. Pivotant autour d'un axe central, ce système d'ouverture évoque la très exclusive
Ferrari 575 Superamerica. Il lui suffit de seulement 12 secondes pour offrir les nuages à ses deux uniques passagers. Par contre cette opération demande obligatoirement l'arrêt du bolide.
Elle a du coffre...
Grâce à son toit rotatif, la
Wind ne perd aucun volume de chargement, car le toit se replie sur le dessus de la male. Le volume en est presque gigantesque pour un petit cabriolet, puisqu'il contient 270 dm¬? d'espace pour les bagages. En comparaison la
Peugeot 207 CC en propose deux fois plus toit plié. Par contre, deux barres métalliques prennent place dans le fond du coffre, afin de renforcer la caisse et de procurer un meilleur agrément de conduite, rien de véritablement rédhibitoire.
A la saure Renault Sport...
La très bonne nouvelle, ce sont les superbes jantes noires en amandes de 17 pouces qui seront de série sur la gamme
Wind.
Renault Sport à installé 2 motorisations sous le capot du roadster, le premier est le
1.2 TCE de 100ch et le second le
1.6 16V de 133 chevaux.
Pour le
prix,
Renault nous a laissé penser une gamme commençant à
18.000€.