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Emmanuel Macron, notre cher président, vient de lancer son plan de réindustrialisation de la France. Pour soutenir son projet et l'industrie automobile hexagonale, il a annoncé qu'il souhaitait arrêter de donner des bonus écologiques pour l'achat de voitures électriques chinoises. Cette décision a pris par surprise les constructeurs automobiles chinois, qui cherchaient à conquérir le marché européen grâce à des prix compétitifs. MG, Aiways et BYD ont tout de suite fait appel au Parti communiste chinois pour tenter d'inverser la décision d'E. Macron.
Le résultat est déroutant, puisque la présidence va détenir dans son parc une voiture électrique chinoise.
Ce jeudi 11 mai, le président français, Emmanuel Macron, a annoncé en grande pompe qu'il souhaitait réindustrialiser notre territoire. L'une de ses mesures concerne l'industrie automobile. Elle vise à arrêter de donner des bonus écologiques pour l'achat de voitures électriques chinoises, affirmant que ces véhicules ne respectaient pas les mêmes normes environnementales que ceux fabriqués en Europe.
Cette décision a suscité l'indignation de Xi Jinping, le président chinois, qui se dit être insulté personnellement par cette annonce. « C'est un affront à la Chine et à son industrie automobile. Nous ne pouvons pas laisser cela se passer », a déclaré le dirigeant chinois lors d'une conférence de presse. Vous connaissez le vieil adage : « Œil pour œil, dent pour dent. » Eh bien, E. Macron vient d'en reprendre connaissance avec la menace de Xi Jinping. En effet, le président chinois, qui est le garant de la puissance industrielle de l'empire du Milieu, a rétorqué ce matin qu'il s'est senti personnellement insulté par cette annonce. « Comment osez-vous insulter l'industrie automobile chinoise ? Nous avons travaillé dur pour produire des voitures électriques de qualité, respectueuses de l'environnement. Cette décision est inacceptable », a déclaré Xi Jinping lors d'une conférence de presse. En réponse, Xi Jinping a décidé de prendre des mesures drastiques en menaçant d'interdire la vente de sacs Louis Vuitton en Chine. Une marque que Macron, mais surtout sa femme, Brigitte, affectionnent particulièrement. Le président français a alors été contraint, par sa compagne, de trouver une solution pour apaiser les tensions. C'est alors qu'il a eu l'idée de rouler en BYD HAN, une voiture électrique chinoise, pour faire la publicité de la marque. « Si je roule en BYD Han, cela montrera que la France apprécie les voitures électriques chinoises et que nous sommes prêts à faire des compromis pour maintenir une relation cordiale avec la Chine », a déclaré E. Macron lors d'une conférence de presse.
En conclusion, cette situation insolite montre que la diplomatie entre les nations peut prendre des formes surprenantes. Si la France peut se mettre à rouler en BYD HAN, qui sait ce que l'avenir réserve pour les relations franco-chinoises ? Peut-être que dans quelques années, nous verrons des croissants dans les rues de Pékin et des nems dans les boulangeries parisiennes !
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