Londres, dans un avenir proche. Tout est sous contrôle, et à l’instar d’un « big brother », une autorité supérieure surveille le moindre de nos faits et gestes. « Management », c’est ainsi qu’il se nomme, surveille tout, aidé par la technologie qui nous a totalement envahi. Un homme, génie de l’informatique, vit seul dans une chapelle abandonnée. Il ne supporte pas la société, et ne se supporte pas lui-même. Le décor est planté pour ce qui ressemble bien à un film d’anticipation.
Qohen Leth, interprété par Christoph Waltz (mis sous le feu des projecteurs par Quentin Tarantino dans les films « Inglorious Basterds » et « Django unchained »), attend un appel téléphonique qui n’arrive jamais. Persuadé que ce coup de fil apportera toutes les réponses qu’il se pose sur le sens de la vie, il attend fébrilement la sonnerie du téléphone.
L’autorité supérieure « Management » lui a confié une mission : décrypter le but de l’existence, ou son absence de finalité. Vaste programme, philosophique s’il en est.
Avec « Brazil » sorti en 1984, le réalisateur Terry Gillian nous montrait le monde dans lequel nous vivions, et tel que le prisme de sa caméra le percevait. Avec « Zero Theorem », le cinéaste filme le monde tel qui l’est actuellement, toujours sous son regard. Les décors sont époustouflants, et ont été créés par David Warren, déjà aux commandes de « L’imaginarium du docteur parnassus » sorti au cinéma en 2009. Parmi ces décors, un véhicule récurrent, qui occupe une place omniprésente dans le film, et que l’on retrouve dans chaque rue mise à l’écran : le Renault Twizy.
Lancé par la firme au losange en mars 2012, le petit Twizy électrique à 2 places et quatre roues a été produit jusqu’à ce jour à 9 000 exemplaires. C’est LA voiture du film. Autant dire un gros coup de pub pour Renault, et une géniale opération de placement produit, et de communication. Cette mise en avant du quadricycle au losange permet à la marque de se donner une image technologique, et écologique en même temps, une bonne opération d’image.
Depuis le premier film des frères Lumière, où l’on découvrait Louis Renault au volant de sa voiturette « Type A » à la Zoé qui tient un rôle entier dans le film « Un prince presque charmant » sorti l’année dernière, Renault et le 7e art ont toujours été étroitement liés. Quoi de plus surprenant de la part du partenaire historique du Festival de Cannes ?
La vidéo ci-dessous vous présente un peu le prochain film de Terry Gillian, et l’importance que tient Twizy dans ce nouveau long métrage.
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