Fiabilité INFINITI Occasion : Des blocs Nissan et Mercedes

Dans l’univers feutré des voitures premium, INFINITI a longtemps incarné l’alternative exotique face aux habituels BMW, Audi ou Mercedes. Pourtant, cette branche haut de gamme du constructeur Nissan s’est retirée du marché européen début 2020, laissant derrière elle un parc d’occasions aussi rares qu’intrigantes. Faut-il s’aventurer sur ce marché confidentiel, où cohabitent moteurs essence nobles (V6 atmo ou biturbo) et motorisations diesel d’origine Mercedes ? Les pièces détachées sont-elles disponibles ? La fiabilité est-elle à la hauteur des espérances d’un acheteur premium ? De la berline Q50 à l’imposant SUV QX80, nous levons le voile sur les forces et faiblesses de la gamme INFINITI en occasion, pour vous aider à trouver la perle rare… ou à éviter la mauvaise affaire.
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Créée à la fin des années 1980 pour concurrencer les marques premium japonaises (Lexus, Acura) et allemandes (BMW, Audi, Mercedes) sur le marché nord-américain, INFINITI est arrivée en Europe tardivement, dans le courant des années 2000. Ses véhicules se distinguaient par un style plutôt audacieux, une dotation technologique riche, des motorisations majoritairement issues de l’expertise Nissan (en particulier la série de V6 « VQ ») et, sur certains modèles vendus en Europe, des blocs diesel et/ou quatre cylindres essence empruntés à Mercedes (accord de coopération avec Daimler).

Le marché européen, plus frileux envers les marques de luxe “exotiques” et très concurrentiel, n’a pas vraiment permis à INFINITI de percer. La marque a annoncé son retrait en mars 2019, effectif en 2020, ce qui a créé une situation particulière : on trouve aujourd’hui des occasions INFINITI encore sous garantie ou vendues à prix attractifs, mais avec l’inévitable interrogation sur la disponibilité des pièces et la pérennité du réseau d’entretien.

Malgré ce contexte, la fiabilité de nombreux modèles INFINITI est souvent jugée plus qu’honorable, grâce à la base Nissan souvent réputée solide. Toutefois, certaines configurations (boîtes automatiques, bloc diesel 2.2 d’origine Mercedes, hybridation sur les V6 3.5, etc.) présentent des points d’attention spécifiques. Dans cet article, nous allons détailler les moteurs essence, diesel et hybrides que l’on trouve le plus fréquemment en occasion, passer en revue les modèles phares (Q30, QX30, Q50, Q60, Q70, QX50, QX70, QX80, etc.), puis proposer des conseils d’achat et de vérifications incontournables pour qui souhaite s’aventurer dans l’univers INFINITI d’occasion.



1. Les moteurs controversés ou à surveiller

INFINITI, de par son alliance avec Nissan (et la coopération avec Daimler), a proposé plusieurs motorisations qui ont parfois suscité des interrogations chez les propriétaires. En Europe, le besoin de blocs plus sobres et moins taxés (fiscalité CO₂) a conduit la marque à emprunter des moteurs quatre cylindres diesel ou essence à Mercedes. Et comme tout partage technologique, il peut y avoir des disparités de fiabilité selon les versions et les millésimes.

1.1. Le 2.2 diesel d’origine Mercedes (OM651)

  • Où le trouve-t-on ?
    Principalement sous le capot des berlines et SUV compacts INFINITI : Q50 (version 2.2d), QX30 (qui partage sa plateforme avec la Mercedes GLA), Q30, voire sur certaines finitions du Q70 (assez rares).
  • Points forts :
    • Consommation raisonnable pour un véhicule premium.
    • Couple appréciable (autour de 400 Nm).
    • Entretien et pièces globalement disponibles via les canaux Mercedes/Nissan.
  • Points faibles :
    • Sur les premiers exemplaires, problème de tendeur de chaîne de distribution (usure prématurée), rappels effectués par Mercedes.
    • Sensibilité à l’encrassement de la vanne EGR et du FAP (usage urbain).
    • Boîte automatique 7 rapports (7G-Tronic) parfois sujette à des à-coups si la vidange n’a pas été faite régulièrement.

1.2. Les blocs 2.0 turbo essence d’origine Mercedes (M274)

  • Où les trouve-t-on ?
    Sur la Q30, QX30 et Q50 (2.0t), principalement sur des années-modèles entre 2015 et 2019.
  • Points forts :
    • Agrément correct : environ 211 ch, bonne plage de couple, plutôt silencieux.
    • Consommation mixte honorable pour un 2.0 turbo (8-9 L/100 km).
  • Points faibles :
    • Surconsommation d’huile rapportée sur certains lots (segments mal usinés).
    • Fuite possible au niveau du joint de couvre-culasse.
    • Fiabilité électronique aléatoire (capteurs pression injection, bobines d’allumage) si l’entretien a été négligé.


2. Les moteurs increvables d’origine Nissan

Si INFINITI a dû recourir à des motorisations Mercedes pour le marché européen, la marque reste historiquement attachée aux V6 Nissan, bien connus pour leur robustesse et leur caractère. On distingue principalement deux grandes familles :

2.1. Les V6 essence atmosphériques « VQ » (3.0, 3.5, 3.7)

  • Où les trouve-t-on ?
    • 3.0 V6 (essence, rare en Europe)
    • 3.5 V6 (VQ35) : G35, EX35, FX35, Q50 3.5 (hors Europe), Q70, etc.
    • 3.7 V6 (VQ37) : G37, QX70 3.7, Q50 3.7, Q60 3.7…
  • Points forts :
    • Solide réputation de fiabilité (les VQ figurent régulièrement dans le palmarès Wards des meilleurs moteurs).
    • Agrément de conduite : sonorité, linéarité, performances réelles.
    • Peu d’ennuis mécaniques majeurs si l’entretien est suivi : vidanges, bougies, liquide de refroidissement, etc.
  • Points faibles :
    • Consommation d’essence élevée (facilement 11-12 L/100 km, voire plus en ville).
    • Attention à la chaîne de distribution sur les versions très kilométrées (au-delà de 180/200 000 km).
    • À-coups possibles sur la boîte auto si le coupleur ou le convertisseur sont fatigués.

2.2. Les V6 biturbo VR30 (3.0t) de nouvelle génération

  • Où les trouve-t-on ?
    • Principalement sur la Q50 (version Red Sport 400) et la Q60 coupé (300 à 400 ch).
  • Points forts :
    • Performances de haut niveau (0 à 100 km/h entre 5 et 5,5 s).
    • Conception robuste, issu de l’expertise Nissan GT-R (même famille VR).
    • Polyvalence : moteur doux en bas régimes et explosif dans les tours.
  • Points faibles :
    • Coût d’entretien plus élevé (2 turbos, 6 bobines haute performance, huile spécifique).
    • Certaines sondes (lambda, capteur de suralimentation) peuvent vieillir prématurément si le véhicule a subi des préparations ou un usage intensif.
    • Distribution par chaîne : rare de la changer avant 200 000 km, mais si elle lâche, facture salée.


3. Les motorisations hybrides : alliance du V6 et de l’électrique

INFINITI a également proposé des versions hybrides de ses berlines et grands SUV, essentiellement autour du bloc V6 3.5 (VQ35) associé à un moteur électrique :

  • Q50 Hybrid 3.5 (364 ch cumulés, propulsion ou transmission intégrale).
  • Q70 Hybrid 3.5 (364 ch, berline premium).
  • M35h (prédécesseur de la Q70, même base).

Les points-clés des hybrides INFINITI

  • Performances très élevées : le couple électrique vient épauler le V6, réduisant le 0 à 100 km/h à moins de 6 secondes sur certains modèles (Q50 Hybrid).
  • Consommation raisonnable sur route : on peut descendre à 7-8 L/100 km en conduite souple, ce qui est très correct pour un V6 de plus de 300 ch.
  • Complexité accrue : gestion électronique fine, batterie lithium-ion, boîte automatique spécifique (7 rapports adaptatifs).
  • Fiabilité globalement bonne : la batterie et le système hybride sont conçus pour durer. Cependant, le réseau européen étant restreint, le coût de réparation en cas de panne est potentiellement élevé.


4. Tour d’horizon des modèles INFINITI

Maintenant que nous avons passé en revue les grandes familles de moteurs, décryptons modèle par modèle (ou par gamme) les points forts, les points faibles et les précautions à prendre pour un achat d’occasion serein.

4.1. Q30 / QX30 (2016 – 2019)

  • Segment : compactes premium, cousines techniques de la Mercedes Classe A (Q30) et GLA (QX30).
  • Motorisations :
    • Essence : 2.0t Mercedes (211 ch)
    • Diesel : 1.5 dCi (109 ch) ou 2.2d (170 ch) d’origine Mercedes (OM651)
  • Fiabilité :
    • Assez correcte dans l’ensemble. Les motorisations Mercedes ont déjà fait leurs preuves, malgré quelques soucis de chaîne de distribution sur les tout premiers modèles.
    • Boîte double embrayage 7 rapports (7DCT) : sensible à l’encrassement si usage urbain, vidange recommandée tous les 60 000 km.
  • Points faibles :
    • Réseau d’entretien restreint en Europe depuis 2020.
    • Disponibilité des pièces carrosserie parfois compliquée.

4.2. Q50 (2013 – …)

  • Segment : berline premium concurrente des BMW Série 3 ou Mercedes Classe C.
  • Motorisations :
    • Diesel 2.2d 170 ch (Mercedes OM651)
    • Essence 2.0t (211 ch, Mercedes)
    • V6 3.7 atmo (328 ch, marché US, très rare en Europe)
    • V6 3.0 biturbo (VR30, 300 à 400 ch) sur les Q50 « Red Sport »
    • Hybride 3.5 V6 (364 ch)
  • Fiabilité :
    • Globalement bonne. Les Q50 essence V6 Nissan sont remarquées pour leur solidité. Le 2.2d demande un entretien minutieux (distribution, FAP).
    • Attention à l’électronique (steer-by-wire sur certaines versions) : problèmes de calibrage ou capteurs d’angle signalés sur les premiers millésimes.
  • Points faibles :
    • Complexité de la direction électrique sans liaison mécanique (Direct Adaptive Steering) sur les finitions les plus haut de gamme : rare, mais en cas de panne, facture salée.
    • Réseau encore une fois réduit, donc mieux vaut trouver un garage Nissan/Infiniti habitué.

4.3. Q60 (2016 – …)

  • Segment : coupé sportif basé sur la Q50, rival des BMW Série 4 Coupé, Audi A5, etc.
  • Motorisations :
    • V6 3.0 biturbo (VR30, 300 ou 400 ch)
    • 2.0t (211 ch) sur les premiers millésimes (rare en France)
  • Fiabilité :
    • Excellente sur le V6 biturbo si suivi d’entretien (vidanges de turbo, qualité d’huile 100 % synthétique).
  • Points faibles :
    • Pièces de carrosserie et pare-chocs spécifiques peu disponibles en Europe.
    • Composants électroniques (connectivité, GPS) qui peuvent être difficiles à mettre à jour depuis le retrait de la marque.

4.4. Q70 (et l’ancienne M) (2012 – 2019)

  • Segment : grande berline statutaire, concurrente des BMW Série 5, Audi A6, Mercedes Classe E.
  • Motorisations :
    • Diesel 2.2d Mercedes (170 ch)
    • Essence V6 3.7 (320 ch)
    • Hybride 3.5 V6 (364 ch)
  • Fiabilité :
    • Le V6 3.7 (VQ37) est un bloc éprouvé, capable d’aligner les kilomètres.
    • L’hybride est performant et plutôt fiable, mais en cas d’avarie, trouver un réparateur compétent peut s’avérer ardu.
    • Le 2.2d est correct si l’entretien est rigoureux (FAP, chaîne, etc.).
  • Points faibles :
    • Poids élevé, usure accrue des pneus et freins si conduite dynamique.
    • Certains bruits de mobilier rapportés (plastiques, rossignols) sur des modèles assemblés en début de série.

4.5. QX50 (EX/FX rebaptisés partiellement)

  • Segment : crossover/SUV moyen, concurrent du BMW X3 ou Audi Q5.
  • Motorisations (Europe) :
    • V6 3.7 essence (320 ch), rare en France.
    • 2.0 VC-Turbo (sur la génération plus récente, peu diffusée en Europe).
  • Fiabilité :
    • Les V6 Nissan classiques sont réputés costauds.
    • Quelques soucis d’électronique embarquée (caméras 360°, capteurs de recul).
  • Points faibles :
    • Révision coûteuse si on doit changer des pièces spécifiques (amortisseurs pilotés, capteurs de suspension).
    • Modèle très rare en Europe, quasi introuvable en diesel, ce qui limite l’attrait pour les gros rouleurs.

4.6. QX70 (ex-FX) (2009 – 2019)

  • Segment : SUV sportif, concurrent du Porsche Cayenne ou BMW X6, au style très distinctif.
  • Motorisations :
    • V6 3.7 essence (320 ch)
    • V6 5.0 essence (390 ch) sur le FX50, très rare.
    • V6 3.0 diesel (V9X, 238 ch) sur le FX30d / QX70 30d
  • Fiabilité :
    • Les versions essence (3.7 ou 5.0) sont mécaniquement robustes, mais gourmentes.
    • Le V6 diesel 3.0 (d’origine Nissan-Renault) est globalement fiable, mais surveiller la vanne EGR, le FAP et la distribution (courroie + chaîne d’arbres d’équilibrage).
  • Points faibles :
    • Consommation élevée sur le 5.0 et même sur le 3.7.
    • Suspensions et pneus chers à remplacer (grosse monte).
    • Peut souffrir de corrosion sur le châssis si utilisation hivernale (sel) sans traitement régulier.

4.7. QX80 (ex-QX56) (2004 – …)

  • Segment : SUV full-size, gabarit proche d’un Cadillac Escalade ou Lexus LX. Rare en Europe.
  • Motorisation :
    • V8 essence 5.6 (VK56VD), 405 ch, parfois en version GPL ou flexfuel.
  • Fiabilité :
    • Mécanique très robuste, conception éprouvée pour le marché US.
    • Révisions relativement espacées, mais attention à la capacité d’huile (quantité importante).
  • Points faibles :
    • Véhicule hors normes : 2,6 tonnes, 5,30 m de long. Peu adapté aux routes européennes.
    • Consommation astronomique (15 à 20 L/100 km).
    • Très difficile à revendre ou entretenir en dehors d’un réseau spécialisé.



5. Bonnes pratiques et vérifications indispensables pour un achat INFINITI d’occasion

  1. Choisissez la motorisation adaptée à votre usage

    • Si vous roulez peu ou essentiellement en ville, un gros V6 ou V8 sera un gouffre financier.
    • Si vous faites beaucoup de kilomètres, un diesel (2.2d ou 3.0d) peut être intéressant, mais attention aux coûts d’entretien.
  2. Vérifiez l’historique d’entretien

    • Les carnets d’entretien INFINITI sont souvent mis à jour dans le réseau Nissan (ou ex-Infiniti). Exigez factures et preuves de révisions (vidanges, filtres, bougies, liquide de boîte, etc.).
    • Pour les modèles hybrides, assurez-vous que les contrôles de batterie et de système haute tension ont été effectués selon le plan constructeur.
  3. Faites un diagnostic électronique

    • Tout particulièrement sur les blocs Mercedes (2.2d, 2.0t), pour vérifier l’absence de défaut de pression rail, d’injecteurs ou de chaîne en fin de vie.
    • Sur les V6 Nissan, un passage à la valise permettra aussi de détecter d’éventuels soucis de sonde lambda, de capteur de cliquetis ou de boîte auto.
  4. Surveillez la boîte automatique

    • INFINITI utilise parfois la 7G-Tronic (Mercedes) ou une boîte Nissan 7 rapports. Dans tous les cas, la vidange régulière est cruciale (60 000 – 80 000 km max).
    • Vérifiez l’absence d’à-coups, de bruits métalliques, ou de glissements en accélération franche.
  5. Inspectez l’état des pièces d’usure onéreuses

    • Pneus, freins, amortisseurs : sur un SUV sportif type QX70 ou QX80, la facture peut grimper vite.
    • Contrôlez la suspension (si pilotée) et la direction (surtout la steer-by-wire sur Q50).
  6. Renseignez-vous sur le réseau de maintenance local

    • Depuis le retrait de la marque en 2020, toutes les concessions INFINITI ont fermé en Europe de l’Ouest.
    • Beaucoup de centres Nissan peuvent prendre en charge l’entretien (mécaniquement compatibles), mais il est préférable d’appeler pour vérifier la disponibilité des pièces et la compétence du personnel.
    • Les sites de vente en ligne de pièces détachées peuvent aider, mais attention aux délais et à la compatibilité exacte des références.
  7. Soyez attentif à la valeur de revente

    • L’exotisme d’INFINITI peut jouer contre vous si vous souhaitez revendre rapidement. Les cotes sont souvent basses en France, ce qui peut être un avantage à l’achat, mais un handicap à la revente.

Conclusion:

Faut-il craquer pour une INFINITI d’occasion ?

Entre originalité et rareté, les modèles INFINITI attirent ceux qui veulent se démarquer de la production premium germanique. Ils offrent souvent un excellent rapport prix/équipement sur le marché de l’occasion, avec des finitions luxueuses, des motorisations puissantes et une fiabilité plutôt honnête, à condition de respecter les prérequis suivants :

  • Ne pas sous-estimer l’entretien : un V6 (ou V8) Nissan peut être très robuste, mais il exige de bonnes huiles, un respect strict des intervalles de vidange (moteur et boîte), ainsi qu’un usage adapté.
  • Tenir compte de la disponibilité du réseau : en Europe, l’arrêt de la commercialisation rend l’accès à certaines pièces plus complexe. Les garagistes Nissan peuvent souvent y remédier, mais pas tous.
  • Privilégier les modèles les plus répandus : Q50, Q30, QX30, QX70, car le parc est plus large et la mutualisation des pièces avec d’autres véhicules (Mercedes ou Nissan) peut faciliter la maintenance. Les gros SUV comme le QX80 sont ultra-confidentiels et très chers à entretenir.
  • Examiner scrupuleusement l’historique : les occasions bradées peuvent cacher un défaut de chaîne ou un manque d’entretien sur le turbo. Méfiez-vous des kilométrages trafiqués, comme pour toute marque premium.

En définitive, acheter une INFINITI d’occasion peut se révéler un excellent moyen de s’offrir un véhicule distinctif et plaisant à conduire. Les moteurs V6 Nissan, qu’ils soient atmosphériques ou biturbo, ont largement fait leurs preuves en termes de robustesse. Le bloc diesel Mercedes 2.2 d’est convenable si l’on respecte les remplacements de tendeur de chaîne et les mises à jour. L’hybride est un bon compromis pour profiter d’un V6 noble tout en maintenant la consommation à un niveau raisonnable. Le seul véritable frein demeure la fermeture du réseau officiel en Europe, qui impose de s’organiser pour trouver un atelier compétent. Mais pour qui aime l’originalité et n’a pas froid aux yeux, la marque japonaise haut de gamme est un pari séduisant… et potentiellement très rentable à l’achat.


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