Une Nissan QASHQAI hybride
La bonne nouvelle de sa présentation est bien que les ingénieurs ont réussit à lui greffer un système de propulsion hybride rechargeable. Mais le choix technique est vraiment surprenant puisqu’il s’appuie sur un moteur électrique de 190 chevaux qui propulse les roues, d'une batterie et d'un générateur thermique à taux de compression variable de 158 ch, un groupe électrogène, et un onduleur.
Cela ne vous dit rien ?
Quoi de plus normale, puisque cette solution technique a été testé sur les
Opel Ampera et
Chevrolet Volt… et autant vous le dire, leurs consommations moyenne aux alentours de 8 litres d’essence pour alimenter le moteur électrique sur 100 km, n’était pas vraiment concluant.
Ceci dit,
Nissan nous explique que sa solution a été éprouvée au Japon, sur la
citadine Nissan Note à la différence que cette citadine dispose d’un moteur à essence 1,2 qui charge la batterie pour une puissance électrique finale de 106 ch. Pour l'Europe, l’ensemble a été adapté avec un moteur à thermique de 1,5 litre de 158 ch qui alimente une moteur électrique de 190 chevaux.
Nissan continue ses explications en nous disant que cette solution offre
technique offre réponse instantanée grâce au couple élevé du système électriqu et que les « dépassements ou l’insertion sur une autoroute sont plus faciles et plus sereins. »
Comme la
berline compacte 100% électrique Nissan LEAF, le
nouveau Nissan QASHQAI e-POWER bénéficie d’une toute nouvelle expérience de conduite grâce à la technologie appelée
e-Pedal. Les conducteurs peuvent démarrer, accélérer, décélérer et freiner en utilisant uniquement la pédale d'accélérateur.
Bref… nous on craint un choix technique malheureux, alors que Renault dispose dans sa banque d’organe d’un groupe motopropulseur h
ybride rechargeable puissant et efficient. Il est déjà présent dans le
Captur E-TECH 160 qui utilise de la même plateforme…
Un sentiment à vérifier lors de nos essais.