Ford Transit Connect L1 1.5 EcoBlue 100ch Cabine Approfondie Trend
2020 25585 km Manuelle Diesel
On a vu que les questions du bruit des moteurs était mis en cause, maintenant on critique et de manière véhémente le fait que les pilotes doivent suivre les ordres de leur stand pour surveiller en permanence la consommation, les pneus et s’en remettent à la stratégie échafaudée par le stand pour économiser les freins par ci, soulager l’accélérateur par-là, en fonction des fameux datas scrutés en temps réel.
Pour le grand Prix d’Allemagne, qui se déroulera en fin de semaine sur le circuit d’Hokenheim, il semble bien que les écuries Mercedes Amg et Red Bull vont devoir renoncer à leurs systèmes de suspensions pilotées contestés par les autres teams. Peut-être verrons-nous les Mercedes, ces machines à gagner, rendre un peu la main. Mais le mal est si profond que le Président de Ferrari somme les instances de la F1 d’apporter des modifications significatives pour que les Grands Prix retrouvent, dès 2015, tout leur prestige.
En attendant, Pirelli a procédé à des essais de pneumatiques en 18 pouces parce qu’il serait temps de quitter les 13 pouces qui font un peu ringards dans l’évolution globale de l’automobile. Il faut sans doute rapprocher ce petit pas, puisque l’on ne parle que de 2016 pour cette évolution, de la décision de Michelin d’équiper la Formule électrique de pneus tout à fait révolutionnaires, mais qui rouleront dès octobre prochain, en 18 pouces bien sûr !
Pour illustrer combien la F1 est prisonnière d’un conservatisme à tout va, nous ne résistons pas au plaisir de parler de la FIA (Fédération internationale de l’automobile). En effet, on en est à savoir si on va changer la spécification des patins d’usure sous les fonds plats des voitures pour passer de métaux lourds à du titane, afin de faire plus d’étincelles lors des frottements et ainsi, augmenter le spectacle. On croit rêver.
Oui, on vous le dit il est grand temps que les choses évoluent, d’autant plus que certaines écuries moribondes ne peuvent plus suivre le train de vie imposé par ce show international. Il n’est pas interdit de penser que les constructeurs majeurs, à l’instar de Ferrari envisagent de donner un coup de pied dans la fourmilière. On se demande pourtant comment sortir par le haut d’une situation aussi complexe, où le grand manitou Bernie Ecclestone entend profiter toujours davantage d’une rente de situation, qui même si elle périclite dans notre vieille Europe, peut faire rêver les nouveaux marchés émergents plus juteux que les nôtres.
On ne manque pas de voix autorisées pour dessiner des voies d’amélioration du spectacle. Toutes s’accordent sur le fait que pour retrouver le piment des courses il faut se focaliser sur la possibilité de doubler à la force du courage et du talent et non en actionnant son DRS (supplément de puissance apporté par l’aileron arrière ouvert) dans des zones très précises et, lorsque l’on se trouve à moins d’une seconde de la voiture qui précède.
Des freins en acier et non en carbone changeraient également grandement la donne et les courses retrouveraient sans doute du piment, en faisant la part belle aux gros cœurs.
Alors, pour conclure espérons simplement que le circuit de Hockenheim avec son parcours très typé nous réservera un Grand Prix moins insipide que les précédents. Pour le reste, c’est sans doute après le Grand Prix d’Italie que nous en saurons plus car Luca Di Montezemolo a décidé de provoquer une grande réunion de déballage. Affaire à suivre !
2020 25585 km Manuelle Diesel
2019 93589 km Manuelle Diesel
2020 25585 km Manuelle Diesel
2019 93589 km Manuelle Diesel