Fiabilité Dacia Occasion : de l’increvable 1.5 dCi aux nouveaux blocs TCe et hybrides

Lorsque l’on pense à Dacia, on évoque immédiatement la robustesse et le rapport qualité-prix imbattable, autant en neuf qu’en occasion. Pourtant, derrière le slogan « le meilleur prix du marché », chaque modèle cache ses propres secrets de fiabilité. Des blocs diesel réputés inusables comme le 1.5 dCi, jusqu’aux plus récents moteurs essence TCe et même aux offres hybrides, la gamme Dacia offre aujourd’hui un vaste choix. Mais quels sont les moteurs à privilégier ? Quelles sont les précautions à prendre avant d’acheter une Logan, une Sandero, un Duster, un Lodgy, un Dokker, un Jogger ou même la citadine électrique Spring ? Dans cet article, nous passons en revue la fiabilité des moteurs Dacia, en détaillant forces et faiblesses pour vous aider à dégoter la perle rare sur le marché de l’occasion.
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Dacia, filiale du groupe Renault, a connu un formidable essor au cours des deux dernières décennies. Originellement vendus dans les pays émergents ou d’Europe de l’Est, les modèles Dacia se sont rapidement imposés sur le marché européen et notamment en France, en raison de tarifs imbattables et d’une simplicité technique censée garantir une bonne durabilité.

Cependant, qui dit « voiture à bas coût » ne dit pas toujours « fiabilité infaillible ». Certains moteurs ou composants, partagés avec la maison-mère Renault, ont parfois rencontré des problèmes connus (par exemple, le 1.2 TCe chez Renault). De son côté, Dacia a aussi introduit dans sa gamme de nouvelles mécaniques (TCe, ECO-G GPL, etc.) ou de nouvelles technologies (boîte CVT, système hybride sur Jogger), qui méritent un examen attentif. Le pari du prix reste-t-il toujours gagnant ? Oui, si vous sélectionnez intelligemment la motorisation et le modèle qui correspondent à vos besoins.

Dans cet article, nous allons :

  1. Passer en revue les motorisations diesel historiques de Dacia, notamment l’emblématique 1.5 dCi.
  2. Analyser la fiabilité des blocs essence (0.9 TCe, 1.0 TCe, 1.3 TCe, etc.), ainsi que les moteurs GPL et hybrides.
  3. Évoquer chaque modèle (Logan, Sandero, Duster, Lodgy, Dokker, Jogger, Spring) et ses spécificités.
  4. Délivrer des conseils pratiques pour un achat d’occasion serein.
  5. Conclure sur les points clés à retenir pour faire le bon choix et éviter de mauvaises surprises.


1. Le 1.5 dCi : le diesel indétrônable chez Dacia

1.1. Genèse et caractéristiques

Le bloc 1.5 dCi, connu en interne sous le code K9K, est un moteur diesel phare du groupe Renault, adopté par Dacia depuis les premières Logan en 2005 (selon les marchés). Il s’agit d’un 4-cylindres doté d’une injection directe Common Rail, développant selon les versions entre 65 et 115 chevaux (75, 85, 90, 95, 110, 115 ch, etc.). Très populaire, il a conquis des millions d’automobilistes grâce à :

  • Sa sobriété (consommation autour de 5 L/100 km).
  • Son couple généreux à bas régime (utile sur un Duster, par exemple).
  • Sa fiabilité réputée, si bien entretenu.

1.2. Les principales faiblesses… modestes

S’il jouit d’une solide réputation de longévité, le 1.5 dCi n’est pas exempt de tout reproche. Parmi les points de vigilance :

  • Vanne EGR : en usage urbain, elle peut s’encrasser et générer un voyant moteur.
  • Turbo : sur les premiers millésimes (avant 2010, notamment), des casses turbo se sont produites en cas de vidanges trop espacées ou de mauvaise qualité d’huile.
  • Injecteurs : concernés surtout avant 2006-2007, les injecteurs pouvaient fuir ou se gripper.

1.3. Conseils pour l’achat d’un 1.5 dCi chez Dacia

  • Vérifier l’historique : un entretien scrupuleux (vidange, filtre à huile, filtre à gazole) est essentiel.
  • Privilégier les versions plus récentes (dCi 90, 95, 110, etc.), mieux fiabilisées.
  • Tester la voiture à froid : un démarrage difficile ou une fumée blanche excessive doivent vous alerter.
  • Faire attention à l’usage : un kilométrage élevé n’est pas un problème en soi si la voiture a majoritairement fait de la route. En revanche, un usage 100 % urbain est moins bon pour la longévité du FAP (si présent) et de la vanne EGR.

Si ces précautions sont respectées, le 1.5 dCi peut aisément dépasser les 250 000 km sans grosse réparation, confirmant son statut de diesel increvable.


2. Les motorisations essence (et dérivés) : TCe, SCe, ECO-G

Au fil des ans, Dacia a proposé une variété de moteurs essence, souvent dérivés de blocs Renault, avec pour objectif de limiter les coûts et de rester dans la simplicité.

2.1. Les anciens blocs atmosphériques (1.4 MPI, 1.6 MPI, 1.2 16v)

Sur les premières Logan et Sandero (à partir de 2005 et 2008) :

  • 1.4 MPI 75 ch et 1.6 MPI 87/90 ch : robustes, simples (injection multipoint). Leur principale critique est la consommation plus élevée et des performances limitées. Mais côté fiabilité, on est dans du classique et costaud.
  • 1.2 16v 75 ch (type D4F) : un bloc plus moderne à 16 soupapes, globalement fiable, idéal pour la ville et la polyvalence. On le retrouve surtout sur Logan II, Sandero II. Comme tout moteur essence sans turbo, l’entretien est basique (changement de bougies, courroie de distribution).

2.2. Les premiers TCe : 0.9 TCe et 1.2 TCe

  • 0.9 TCe (90 ch) : il a équipé Sandero II, Logan II, etc. Petit 3-cylindres turbo, il offre un bon compromis entre vivacité et consommation. À surveiller : la courroie de distribution (ou chaîne pour certaines variantes selon millésime), la gestion du turbo et la qualité de l’huile. Quelques cas de surconsommation d’huile ont été mentionnés, mais bien moins dramatiques que le 1.2 TCe chez Renault.
  • 1.2 TCe (115 ch) : bien plus rare chez Dacia (certains Duster) que chez Renault. En cas de présence, on retrouve les mêmes failles que chez la maison-mère : surconsommation d’huile, distribution. La vigilance est de mise.

2.3. Le 1.0 TCe et le 1.3 TCe : la nouvelle génération

  • 1.0 TCe (100, 90 ou 110 ch selon versions) : déployé sur Sandero III, Logan III, Duster II restylé, Jogger… C’est un bloc 3-cylindres turbo plus récent que le 0.9 TCe. Les premiers retours sont plutôt positifs, avec moins de soucis chroniques rapportés.
  • 1.3 TCe (130 ou 150 ch) : introduit sur le Duster II (et d’autres modèles Renault), il propose de meilleures performances. Co-développé avec Daimler, il se veut plus fiable que le vieux 1.2 TCe. Cependant, étant un bloc relativement moderne, le recul à très haut kilométrage reste limité. Quelques propriétaires signalent des consommations d’huile ponctuelles, mais rarement au niveau des excès du 1.2 TCe.

2.4. Le 1.6 SCe (SCe 115) : l’atmosphérique « moderne »

  • Présent sur certains Duster, Dokker et Lodgy, ce 1.6 SCe (115 ch) reprend une base Renault-Nissan. Sans turbo, il affiche une mécanique plus simple, mais peut se montrer un peu creux à bas régime. Fiabilité satisfaisante, peu de pannes récurrentes signalées.

2.5. Les versions ECO-G (GPL) : 1.0 ECO-G, 1.2 16v GPL, 1.6 SCe GPL

Dacia est un acteur majeur du GPL en Europe. Le système ECO-G (ou LPG) est proposé en usine, avec une intégration soignée.

  • 1.0 ECO-G 100 : présent sur Sandero, Logan, Duster, Jogger. C’est le 1.0 TCe adapté au GPL, offrant un excellent rapport économique (carburant moins cher). Les retours sont positifs, à condition de suivre les révisions précises (soupapes, filtre GPL).
  • Les anciens blocs 1.2 16v GPL ou 1.6 SCe GPL sont également réputés fiables, avec un entretien un peu plus poussé (contrôle du jeu aux soupapes, vérification de l’étanchéité du circuit GPL).

En général, les modèles GPL de Dacia représentent un choix intéressant pour ceux qui veulent réduire leur budget carburant tout en conservant une mécanique simple.


3. Les nouvelles offres hybrides : focus sur la Jogger Hybrid

3.1. Le Jogger Hybrid : l’entrée de Dacia dans l’ère de l’hybride

En 2023, Dacia a introduit la version Hybrid 140 sur la Jogger. Il s’agit du système déjà vu chez Renault (E-Tech), combinant un moteur essence 1.6 et deux moteurs électriques (un e-moteur et un démarreur/générateur haute tension), le tout géré par une boîte multimode.

  • Points forts : baisse de consommation en ville, agrément amélioré (démarrage en électrique).
  • Points faibles : c’est une technologie plus complexe qu’un simple bloc essence ou diesel. Sur le long terme, les coûts de réparation (batterie, électronique) peuvent être plus élevés.

3.2. La fiabilité de l’hybride chez Dacia

Étant donné que la base technique est celle de Renault (Clio E-Tech, Captur E-Tech), on peut s’attendre à une fiabilité globalement satisfaisante. Les pannes restent rares pour le moment, mais le faible recul temporel demande de la prudence. Bien vérifier les conditions de garantie de la batterie (généralement 8 ans ou 160 000 km).


4. Panorama des modèles Dacia et leurs spécificités

Dacia a bâti sa réputation sur quelques piliers : la Logan, la Sandero et le Duster. S’y sont ajoutés d’autres modèles familiaux (Lodgy, Dokker) et plus récemment le Jogger et la Spring. Tour d’horizon.

4.1. Logan (I, II, III) et Logan MCV

  • Logan I (2005 – 2012) :

    • Moteurs : 1.4 MPI, 1.6 MPI, 1.5 dCi 70/85…
    • Fiabilité : globalement simple et robuste. Attention à la corrosion sur certains exemplaires, notamment si usage intensif en milieu humide ou salé.
    • Intérieur très basique, peu d’électronique = moins de pannes coûteuses.
  • Logan II (2012 – 2020) :

    • Moteurs : 0.9 TCe, 1.2 16v, 1.5 dCi, versions GPL (1.2 16v, 0.9 TCe GPL).
    • Fiabilité : bonne, mais surveiller l’embrayage sur les dCi si usage de traction (remorque).
    • Évolution du design, un peu plus d’équipements : vérifier les options (clim, direction assistée, vitres électriques) qui restent simples.
  • Logan III (2021 – …) :

    • Moteurs : 1.0 SCe, 1.0 TCe (90, 100 ECO-G), 1.5 Blue dCi (selon marchés), boîte CVT possible.
    • Encore peu de recul sur la longévité, mais l’ensemble s’avère cohérent.
    • Points à surveiller : boîte CVT (vidanges à respecter), électronique plus fournie que par le passé.

4.2. Sandero (I, II, III) et Sandero Stepway

  • Sandero I (2008 – 2012) :

    • Moteurs : 1.2 16v, 1.4 MPI, 1.6 MPI, 1.5 dCi.
    • Minimaliste, fiabilité bonne, surveiller direction (claquements) et usure des silentblocs.
  • Sandero II (2012 – 2020) :

    • Moteurs : 0.9 TCe, 1.2 16v, 1.5 dCi, versions GPL.
    • Très populaire, rapport qualité-prix excellent, fiabilité satisfaisante.
    • Version Stepway : esthétique de baroudeur, même base technique.
  • Sandero III (2020 – …) :

    • Moteurs : 1.0 SCe, 1.0 TCe (90, 100 ECO-G).
    • Gain en qualité perçue, possible boîte CVT.
    • Recul encore limité, mais retour globalement positif. Vérifier la connectique (écran multimédia), la climatisation, la direction assistée électrique.

4.3. Duster (I, II)

  • Duster I (2010 – 2017) :

    • Moteurs : 1.6 MPI (105 ch), 1.5 dCi (85, 90, 110 ch), parfois 1.2 TCe (125 ch) sur la phase 2.
    • Atout principal : un vrai 4x4 abordable (sur certaines versions), utile en milieu rural.
    • Problèmes signalés :
      • Bruits de mobilier intérieur.
      • Usure prématurée des roulements de roues si usage tout-terrain.
      • Sur le 1.5 dCi 110, attention à l’embrayage si vous tractez régulièrement.
  • Duster II (depuis 2017) :

    • Moteurs : 1.6 SCe (115 ch), 1.3 TCe (130, 150 ch), 1.5 dCi (90, 110, 115 ch), 1.0 TCe (100 ECO-G) sur les derniers millésimes.
    • Fiabilité globalement bonne, l’intérieur mieux fini que le Duster I.
    • Surveiller les versions 4x4 (entretien du pont arrière) et la boîte EDC (double embrayage) disponible sur certains diesels et le 1.3 TCe.
    • Vérifier l’état de la peinture (zones exposées aux gravillons).

4.4. Lodgy (2012 – 2022) et Dokker (2012 – 2021)

  • Lodgy : monospace 5 ou 7 places.

    • Moteurs : 1.6 MPI, 1.6 SCe, 1.5 dCi, parfois 1.2 TCe.
    • Points forts : habitabilité, simplicité d’entretien, diesel 1.5 dCi très adapté aux familles.
    • Points faibles : finition basique, direction un peu floue, embrayage à surveiller si usage à pleine charge.
  • Dokker : ludospace/mini-utilitaire.

    • Moteurs : 1.6 MPI/SCe, 1.5 dCi (75, 90, 95 ch).
    • Fiable et pratique, mais vérifier l’état des portes coulissantes, l’usage professionnel (kilométrages élevés).
    • Peu d’électronique, ce qui limite les risques de panne coûteuse.

4.5. Jogger (depuis 2022)

  • Modèle familial modulable (5 ou 7 places), remplaçant indirectement le Lodgy.
  • Moteurs : 1.0 TCe (110 ch), 1.0 ECO-G (100 ch), et Hybrid 140.
  • Points à surveiller :
    • Les premiers retours sur la mécanique hybride (voir section 3).
    • L’électronique plus sophistiquée (système multimédia, aide au stationnement).
    • L’habitabilité est excellente, mais le poids plus élevé en version 7 places peut solliciter davantage l’embrayage ou les freins.

4.6. Spring (depuis 2021)

  • 100 % électrique, basée sur la plateforme de la Renault City K-ZE vendue en Chine.
  • Moteur : 33 kW (44 ch), batterie de 27,4 kWh (autonomie d’environ 200-230 km réels en usage mixte).
  • Fiabilité : peu de recul, mais la simplicité relative d’un petit moteur électrique est un atout.
  • Attention : qualité de fabrication plus “économique” (isolation phonique, rigidité), performances limitées, recharge assez lente en AC (max 6,6 kW).
  • Utile pour un usage urbain, c’est la proposition la moins chère du marché, mais vérifiez l’état de la batterie et la présence de factures d’entretien (circuit de refroidissement, mise à jour logicielle).


5. Les bonnes pratiques pour l’achat d’une Dacia d’occasion

5.1. Vérifiez l’historique d’entretien

  • Carnet de bord : même si Dacia est réputée pour être “simple à entretenir”, il n’en reste pas moins crucial de respecter les vidanges, changements de filtres et, pour les essence turbo, la bonne huile préconisée (5W30, 5W40 selon les recommandations).
  • Campagnes de rappel : assurez-vous que les éventuels rappels (sécurité, mises à jour moteur ou électronique) ont été faits.

5.2. Faites un essai routier complet

  • Démarrage à froid : tout bruit anormal, fumée inhabituelle (noire, bleue, blanche) doit vous alerter.
  • Montée en température : un moteur qui chauffe trop vite ou pas assez, ou des à-coups en phase d’accélération, peuvent révéler un souci de turbo, d’injecteurs ou d’allumage.
  • Freinage, direction : les Dacia, notamment les anciens modèles, peuvent présenter un flou dans la direction ou des bruits de roulement.
  • Boîte de vitesses : manuelle (vérifier le bon passage des rapports, l’absence de craquements) ou automatique (CVT ou EDC – surveiller les à-coups).

5.3. Diagnostic électronique (valise OBD)

  • Contrôle des erreurs enregistrées : parfois, un voyant moteur a pu être effacé sans régler le problème de fond (vanne EGR, FAP, capteur lambda, etc.).
  • Mesure de la pression du turbo : sur un dCi, cela peut renseigner sur l’état de suralimentation.

5.4. Surveiller la corrosion et l’usage intensif

  • Certaines Dacia (Logan, Dokker) ont pu être utilisées de manière professionnelle ou en milieu salin (plages, routes fortement salées en hiver). Vérifiez les passages de roues, bas de caisse, soubassements, etc.
  • Sur un Duster ou un Dokker, un usage “tout-terrain” ou “utilitaire” peut accélérer l’usure de la suspension, des rotules, des amortisseurs.

5.5. Choisir la motorisation adaptée à votre usage

  • Vous roulez peu, surtout en ville : un petit essence (SCe, TCe) ou la Spring électrique peut suffire. Évitez le diesel, peu approprié aux trajets courts.
  • Vous parcourez régulièrement de longs trajets : le 1.5 dCi reste roi, ou un 1.3 TCe si vous préférez l’essence.
  • Vous voulez réduire le budget carburant : pensez au GPL (ECO-G), qui reste l’une des offres les plus économiques au quotidien.
  • Vous cherchez du 7 places : Lodgy ou Jogger, voire Dokker en version aménagée.
  • Vous voulez un 4x4 abordable : le Duster, en surveillant l’état de la transmission intégrale.


Conclusion:

Comment faire le bon choix d’une Dacia d’occasion ?

Dacia incarne à la fois la simplicité, la robustesse et le meilleur rapport prix/prestations. Mais simplicité ne signifie pas toujours invulnérabilité. Voici les principaux enseignements à retenir :

  1. Le 1.5 dCi est sans conteste l’un des diesels les plus fiables du marché, surtout à partir des versions 2010/2011. Il peut encaisser un fort kilométrage si l’entretien est mené avec rigueur.
  2. Les blocs essence TCe (0.9, 1.0, 1.3) se montrent globalement robustes chez Dacia, à condition d’utiliser une huile de qualité et de respecter les échéances de distribution. Méfiez-vous des plus anciens 1.2 TCe, rares dans la gamme mais potentiellement problématiques.
  3. Les versions GPL (ECO-G) sont un excellent choix pour réduire le coût à la pompe, tout en conservant une mécanique éprouvée. Un contrôle du jeu aux soupapes et de la ligne GPL est à prévoir, mais les pannes graves restent peu fréquentes.
  4. L’arrivée de l’hybride (Jogger Hybrid 140) et de l’électrique (Spring) ouvre de nouvelles perspectives. Les premiers retours sont encourageants, mais le recul à long terme reste limité. Si vous optez pour ces modèles, examinez les conditions de garantie des batteries et faites un essai approfondi.
  5. Le choix du modèle (Logan, Sandero, Duster, Lodgy, Dokker, Jogger, Spring) doit coller à votre usage et à vos exigences en termes d’espace, de performances, de budget carburant.

En conclusion, acquérir une Dacia d’occasion peut être un choix judicieux et économique, à condition de ne pas négliger l’étape cruciale de la vérification du véhicule (historique, entretien, usage précédent). Malgré son image de “voiture simple et sans souci”, une Dacia mal entretenue peut vous réserver de mauvaises surprises. À l’inverse, un modèle chouchouté, même avec un kilométrage élevé, vous accompagnera longtemps sur les routes, sans faire exploser votre porte-monnaie.

Alors, que vous jetiez votre dévolu sur une Sandero citadine, un Duster baroudeur, un Jogger familial ou même la petite Spring électrique, armez-vous des bons réflexes : examen minutieux du moteur et de la transmission, test complet sur route, lecture attentive des factures. Avec ces précautions, vous profiterez pleinement de l’esprit Dacia : l’essentiel, sans superflu, et à prix doux.


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