Dans la multiplication logique des carrosseries pour un modèle du segment C, le break est une déclinaison inévitable.
Hormis l’Alfa Romeo Giulietta ou la Mazda 3, la plupart des propositions du segment disposent d’une telle version. Si Nissan n’a pas donné d’indication officielle autour d’un hypothétique break sur la base de la Pulsar, Theophiluschin propose un premier rendu virtuel.
Le faciès est parfaitement similaire à la berline, mais la partie arrière s’inspire fortement des montants flottants aperçus sur les récents concepts ou sur les Nissan Maxima et Murano.
Toutefois, les réalités du marché ne devraient pas pousser Nissan à sortir une telle déclinaison dans l’immédiat. Car si la concurrence est aiguisée, la Nissan Pulsar Break devrait surtout faire face au Qashqai, un poids lourd commercial.
2018 44547 km Manuelle Essence
2019 96325 km Manuelle Essence