Fiabilité Maserati Occasion : Des V8 et des V6 qui chantent mais pas que ...

Référence incontestable du grand tourisme à l’italienne, Maserati fait rêver avec des mécaniques signées ou dérivées de chez Ferrari, des carrosseries racées et un héritage sportif auréolé de légendes. Mais derrière le design sensuel et les vocalises des V6 et V8, qu’en est-il de la fiabilité réelle ? Entre les aléas de l’électronique italienne, les contraintes d’entretien onéreux et l’émergence de motorisations diesel et hybrides, choisir une Maserati d’occasion n’est pas de tout repos. Alors, comment démêler le vrai du faux et s’assurer d’un achat serein ? Dans cet article, je vous livre un panorama complet de la fiabilité des modèles Maserati récents (Quattroporte, Ghibli, GranTurismo, Levante, MC20) ainsi que des versions plus anciennes, afin de vous aider à faire le bon choix, en toute connaissance de cause.
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Fondée en 1914 à Bologne, Maserati a construit sa réputation sur la compétition automobile et les modèles de luxe exclusifs. Depuis, la marque est passée sous différents drapeaux (Citroën, De Tomaso, FIAT, puis FCA, et maintenant Stellantis), mais a su préserver son ADN : produire des voitures au charme inimitable et à l’agrément de conduite sportif. Pourtant, le mythe Maserati a souvent été écorné par des soucis de fiabilité ou des coûts d’entretien astronomiques.

Dès lors, lorsqu’on convoite une Maserati d’occasion, plusieurs questions se posent : La mécanique est-elle aussi fragile qu’on le raconte ? Le coût d’entretien est-il systématiquement exorbitant ? Les versions diesel et hybrides sont-elles aussi fiables que les essences “purs sang” ? Dans cet article, nous allons décortiquer les forces et faiblesses des principaux moteurs (V6, V8, diesel, hybride), ainsi que passer en revue les modèles phares de la gamme, de la Quattroporte à la nouvelle MC20, sans oublier les incontournables Ghibli, GranTurismo, GranCabrio et Levante. Je partagerai également des conseils pratiques pour éviter les pièges et procéder à des vérifications indispensables avant l’achat.

1. Les moteurs Maserati : un aperçu général

Avant de rentrer dans le détail modèle par modèle, commençons par un tour d’horizon des motorisations qui font ou ont fait le succès de la marque italienne.

1.1. Les V8 atmosphériques (Ferrari-derived)

Historiquement, Maserati a brillé avec des V8 atmosphériques, souvent étroitement liés aux blocs Ferrari. On les trouve notamment dans :

  • Les premières Quattroporte V (2003 – 2012), en version 4.2 ou 4.7 litres.
  • Les GranTurismo et GranCabrio (2007 – 2019), équipées du 4.2 ou 4.7 litres.

Points forts :

  • Sonorité inimitable et puissance linéaire.
  • Fiabilité mécanique assez bonne sur la durée, à condition de respecter des entretiens scrupuleux (vidanges fréquentes, respect du temps de chauffe).
  • Des blocs nobles, rares sur le marché actuel où le downsizing est la norme.

Points faibles :

  • Consommation élevée (au-delà de 15-16 L/100 km en usage sportif).
  • Coût d’entretien important (bougies, courroie accessoire, distribution à chaîne ou par courroie selon les millésimes, contrôles à répétition).
  • Risque de surchauffe si mauvaise utilisation ou entretien négligé (refroidissement insuffisant dans certaines conditions extrêmes).

1.2. Les V6 biturbo (essence)

Depuis le début des années 2010, Maserati s’est recentré sur des V6 biturbo, développés en collaboration avec Ferrari (F154). On les retrouve dans :

  • Ghibli (2013 – …)
  • Quattroporte VI (2013 – …)
  • Levante (2016 – …)

Points forts :

  • Bon compromis entre performances, couple et consommation (relative).
  • Sonorité travaillée, même si elle reste en deçà des V8 atmosphériques.
  • Fiabilité globale correcte, malgré un certain niveau de complexité.

Points faibles :

  • Complexité accrue (deux turbos, injection directe), ce qui peut faire grimper la facture en cas de panne.
  • Entretiens onéreux (bougies, turbos, etc.).
  • Sensibilité à l’huile de qualité : la lubrification doit être irréprochable (vidanges fréquentes).

1.3. Les diesels (3.0 V6 Diesel VM Motori)

Depuis l’arrivée de la Ghibli et de la Quattroporte VI, Maserati propose un bloc diesel 3.0 V6, fourni par VM Motori, également sous l’égide du groupe FCA (désormais Stellantis). On le trouve sur :

  • Ghibli Diesel (275 ch)
  • Quattroporte Diesel (275 ch)
  • Levante Diesel (250 ou 275 ch, selon les marchés)

Points forts :

  • Consommation bien moindre que les versions essence, ce qui en fait le meilleur choix pour un usage quotidien ou de longues distances.
  • Couple généreux, bon agrément pour un diesel (mais moins sportif que les V6 essence).
  • Conçu pour répondre aux normes européennes, le bloc VM Motori a une réputation globalement correcte, sans être aussi spectaculaire que les moteurs essence.

Points faibles :

  • L’âme Maserati un peu diluée : la sonorité est forcément moins envoûtante.
  • Entretien toujours coûteux : injecteurs haute pression, FAP, vanne EGR, turbo, etc.
  • Risque d’encrassement (EGR, FAP) si usage exclusivement urbain.

1.4. Les hybrides (mild-hybrid 2.0 essence)

Plus récemment, Maserati a introduit une version hybride légère (mild-hybrid) sur certains modèles :

  • Ghibli Hybrid (330 ch)
  • Levante Hybrid (330 ch)
  • Grecale (nouveau SUV, 2.0 essence micro-hybride)

Points forts :

  • Consommation un peu réduite par rapport aux V6 essence, tout en conservant un couple intéressant.
  • Accès à certaines zones urbaines critiques (vignettes écologiques, etc.).
  • Les retours initiaux sur la fiabilité sont pour l’instant corrects, malgré un recul encore limité.

Points faibles :

  • Technologie nouvelle pour Maserati, donc peu de data sur la fiabilité long terme.
  • Coût de maintenance potentiellement élevé, avec une électronique plus complexe (batterie 48V, alterno-démarreur, etc.).
  • Moins d’âme qu’un gros V6 ou un V8 atmosphérique, selon les puristes.

2. Les problématiques de fiabilité courantes chez Maserati

Pour une Maserati d’occasion, au-delà de la motorisation, plusieurs éléments récurrents méritent une attention particulière :

  1. Électronique

    • Historiquement, les italiennes ont souffert d’une réputation mitigée en matière d’électricité/électronique. Sur les modèles récents (Ghibli, Quattroporte VI, Levante), les problèmes concernent souvent le système d’infodivertissement (écran tactile, GPS), la climatisation ou les capteurs de pression des pneus.
    • Les GranTurismo/GranCabrio ont parfois des soucis de boîtier de contrôle (mémoires de siège, capote électrique sur GranCabrio, etc.).
  2. Boîte de vitesses

    • Sur les Quattroporte V (avant 2007), la boîte robotisée DuoSelect a fait couler beaucoup d’encre : embrayage fragile, passages de rapports brusques, coût de remplacement élevé. Les versions post-2007 (boîte automatique ZF) se révèlent bien plus fiables.
    • Depuis la fin des années 2000, Maserati utilise généralement des boîtes automatiques ZF à 8 rapports (Ghibli, Quattroporte VI, Levante). De bonne réputation, elles exigent néanmoins un entretien spécifique (vidange tous les 60 000 à 80 000 km, selon usage).
  3. Suspension et trains roulants

    • Les systèmes de suspension pilotée (Skyhook) peuvent s’user prématurément, entraînant des bruits de claquement ou un confort dégradé. Les amortisseurs pilotés, lorsqu’ils lâchent, coûtent cher.
    • Les silentblocs de bras de suspension, sur des véhicules puissants et lourds, peuvent s’user rapidement en conduite sportive.
  4. Refroidissement

    • Les puissants V6 et V8 peuvent souffrir de surchauffe si le radiateur ou le circuit d’eau n’est pas parfaitement entretenu (rinçage du liquide, contrôle de la pompe à eau).
    • Les versions plus anciennes de GranTurismo peuvent rencontrer des fuites de liquide de refroidissement, pas toujours évidentes à détecter.
  5. Coût d’entretien et de pièces

    • Même si l’on trouve des Maserati à des prix “raisonnables” sur le marché de l’occasion, le coût des pièces détachées et de la main-d’œuvre reste élevé.
    • Bougies, freins (gros disques, étriers Brembo), pneumatiques spécifiques, tout cela peut faire exploser le budget annuel.


3. Détail des modèles clés : forces et faiblesses

Après ce panorama sur les moteurs et les problématiques générales, entrons dans le vif du sujet modèle par modèle.

3.1. Maserati Quattroporte

  • Quattroporte V (2003 – 2012)

    • Moteurs : V8 4.2 et 4.7 atmosphériques d’origine Ferrari.
    • Boîte : DuoSelect (robotisée) jusqu’en 2007, puis ZF automatique.
    • Problèmes spécifiques :
      • DuoSelect à embrayage fragile, passages de rapports peu fluides.
      • Électronique parfois capricieuse (capteurs de suspension Skyhook, ouverture/fermeture du coffre).
    • Conseils :
      • Privilégier les phases II (après 2007) avec boîte ZF.
      • Vérifier l’état des amortisseurs, du système de freinage et demander une preuve d’entretien Ferrari/Maserati pour le moteur.
  • Quattroporte VI (depuis 2013)

    • Moteurs : V6 3.0 biturbo (essence et diesel), V8 3.8 biturbo (sur la GTS).
    • Boîte : automatique ZF 8 rapports.
    • Fiabilité :
      • Nettement meilleure que la génération précédente en ce qui concerne la transmission.
      • Quelques soucis d’infotainment et de capteurs.
    • Conseils :
      • Sur un modèle diesel, vérifier l’usage (ville = risque d’encrassement du FAP).
      • Sur un modèle essence, surveiller le respect des intervalles d’entretien (vidanges, filtres, etc.).

3.2. Maserati Ghibli (depuis 2013)

  • Ghibli moderne (troisième du nom) introduite en 2013.
  • Moteurs :
    • V6 3.0 biturbo essence (330 à 430 ch),
    • V6 3.0 diesel (250 ou 275 ch),
    • Version hybride (330 ch) depuis 2020.
  • Fiabilité générale :
    • Mieux maîtrisée que les anciennes Maserati, mais certains bugs électroniques (GPS, Bluetooth) demeurent.
    • La direction assistée et la suspension peuvent présenter de l’usure prématurée si usage très dynamique.
  • Conseils :
    • Vérifier attentivement l’état des jantes et des pneus (voiture lourde et puissante).
    • Sur le diesel, contrôler la régénération du FAP et les entretiens (vidanges tous les 15 à 20 000 km max).
    • Sur l’hybride (mild-hybrid 48V), se renseigner sur l’éventuelle garantie batterie restante.

3.3. Maserati GranTurismo et GranCabrio (2007 – 2019)

  • Les reines du grand tourisme chez Maserati, avec le mythique V8 4.2 ou 4.7.
  • Atouts :
    • Sonorité exceptionnelle, ligne intemporelle, intérieur luxueux.
    • Boîte automatique ZF relativement fiable.
  • Points faibles :
    • Consommation et malus (en neuf) très élevés, donc revente difficile sur certains marchés.
    • Entretien coûteux (8 bougies, gros carter d’huile, etc.).
    • Des soucis d’électronique (capteurs ABS, capote sur la GranCabrio) sont assez fréquents.
  • Conseils :
    • Vérifier la présence d’un carnet d’entretien complet (fréquence d’environ 10-15 000 km pour la vidange).
    • Les disques et plaquettes peuvent être rapidement usés si conduite sportive.
    • Testez la capote (GranCabrio) en ouverture et fermeture pour éviter les réparations à 4 chiffres.

3.4. Maserati Levante (depuis 2016)

  • Premier SUV de la marque, concurrent du Porsche Cayenne ou du BMW X5, lancé en 2016.
  • Moteurs :
    • V6 essence biturbo (350 à 430 ch),
    • V6 diesel (250 ou 275 ch),
    • Version Trofeo avec un V8 3.8 biturbo (580 ch),
    • Version hybride (330 ch) depuis 2021.
  • Fiabilité :
    • Base technique assez solide (châssis proche d’une Ghibli rallongée), boîte ZF 8 vitesses fiable, 4x4 Q4 évolué.
    • Problèmes recensés :
      • Suspensions pneumatiques (option) ou pilotées (Skyhook) sujettes à fuites ou pannes de compresseur.
      • Électronique embarquée (infodivertissement, caméras 360°, capteurs de stationnement).
      • Quelques cas d’étanchéité de toit panoramique signalés.
  • Conseils :
    • Vérifier le fonctionnement du mode off-road et de la hauteur de caisse si suspension pneumatique.
    • Surveiller la batterie (très sollicitée par les systèmes électriques).
    • Un historique limpide est essentiel : révisions annuelles ou tous les 15-20 000 km, surtout sur les versions diesel pour éviter l’encrassement.

3.5. Maserati MC20 (depuis 2021)

  • Supercar moderne de Maserati, propulsée par un V6 biturbo “Nettuno” (630 ch).
  • Très peu de recul sur la fiabilité long terme, car elle est encore récente.
  • On attend toutefois des coûts d’entretien élevés, comparables à une Ferrari ou une McLaren de puissance équivalente.
  • Conseils :
    • Vérifier que l’entretien est fait en concession agréée.
    • S’assurer que le propriétaire précédent a respecté le temps de chauffe et n’a pas uniquement fait des trackdays sans maintenance.
    • Contrôler tout défaut de carrosserie carbone (châssis monocoque).

4. Les vérifications indispensables avant l’achat d’une Maserati d’occasion

  1. Historique et carnet d’entretien

    • Vérifiez l’authenticité du carnet, la régularité des tampons, les factures associées (garage Maserati ou spécialiste réputé).
    • Fuyez les véhicules sans historique clair ou aux intervalles de maintenance trop longs.
  2. Essai routier complet

    • Testez la voiture à froid pour détecter les bruits suspects (coussinet de bielle, tendeur de chaîne, embrayage pour les anciennes DuoSelect).
    • Vérifiez la montée en température, la stabilité de l’aiguille de température moteur.
    • Passez tous les rapports (boîte auto) et surveillez d’éventuels à-coups, bruits de pont, ou patinage.
  3. Diagnostic électronique

    • Un passage à la valise (chez Maserati ou via un outil spécialisé) peut déceler des codes erreurs latents : capteurs ABS, suspensions, boîtier de gestion moteur.
    • Vérifiez également l’état de la batterie et la tension électrique, car une batterie faiblarde peut engendrer un festival de voyants.
  4. État des consommables

    • Disques et plaquettes : comptez un budget conséquent si vous devez les changer.
    • Pneus : ce sont souvent des dimensions spécifiques (Pirelli P Zero, Michelin Pilot Sport, etc.) et chers. Une usure anormale peut révéler un défaut de parallélisme ou un choc.
    • Contrôlez les fluides (liquide de refroidissement, huile de direction assistée, boîte de vitesses si possible).
  5. Examen de la carrosserie et du châssis

    • Inspectez les soubassements : un choc sous le véhicule peut être coûteux à réparer (ligne d’échappement endommagée, carter fissuré).
    • Sur les modèles plus anciens, surveillez la corrosion naissante autour des points de fixation ou sous les joints (rare mais possible).


    5. Coûts d’entretien et budget global : anticipez !

    Acheter une Maserati d’occasion peut être séduisant, car la décote initiale est souvent importante. Toutefois, les frais d’entretien et de réparations restent ceux d’une voiture de luxe, parfois proches de ceux d’une Ferrari, selon la motorisation. Il faut donc intégrer :

    • Les révisions annuelles : souvent plus de 1 000 € en concession (voire bien plus pour certains V8).
    • La consommation : un V8 atmosphérique peut facilement dépasser 20 L/100 km en usage dynamique.
    • L’assurance : le coût peut grimper si vous n’avez pas d’antécédents de conduite sportive ou si vous êtes un jeune conducteur.
    • Les pièces de rechange : chaque pièce détachée peut coûter un bras (ex. un amortisseur piloté, un compresseur de suspension, un catalyseur, etc.).
    • Le malus écologique (pour la France) : si vous changez la carte grise, certains modèles peuvent être soumis à un malus d’occasion en fonction des rejets de CO₂ (à vérifier selon l’année de la première immatriculation).

    Conclusion:

    Comment faire le bon choix d’une Maserati d’occasion ?

    Entre la grandeur mécanique d’un V8 atmosphérique, le dynamisme des V6 biturbo et l’arrivée timide d’hybrides, la gamme Maserati est riche de contrastes. Le rêve italien reste accessible sur le marché de l’occasion, mais se mérite : la fiabilité n’est pas forcément catastrophique, à condition de respecter scrupuleusement l’entretien et de vérifier l’historique.

    1. Privilégier un historique limpide

      • Les véhicules entretenus chez Maserati ou des spécialistes reconnus sont plus rassurants.
      • Une Maserati négligée peut vite devenir un gouffre financier.
    2. Choisir la motorisation adaptée à son usage

      • Si vous roulez beaucoup, la version diesel (Ghibli, Quattroporte, Levante) peut avoir du sens, même si elle sacrifie une partie du charme sonore.
      • Les V6 et V8 essence sont idéals pour les passionnés, mais attention à la consommation et aux coûts d’entretien.
      • Les hybrides récents peuvent offrir un compromis intéressant pour la ville, mais leur fiabilité à long terme reste à confirmer.
    3. Se méfier des “affaires trop belles”

      • Une Maserati bradée peut cacher un lourd passif (accident, vice moteur, électronique défaillante).
      • N’hésitez pas à réaliser un contrôle technique strict et un diagnostic complet avant l’achat.
    4. Anticiper un budget entretien conséquent

      • Même une Maserati diesel reste une voiture de luxe aux pièces onéreuses.
      • Les révisions doivent être effectuées plus souvent que sur une berline généraliste.

    Ainsi, acheter une Maserati d’occasion peut se révéler un plaisir extrême, tant la conduite d’un GranTurismo V8 ou même d’une Ghibli V6 est synonyme de sensations uniques. Mais ce plaisir exige une rigueur irréprochable dans la sélection du modèle, la vérification de son état, et la préparation d’un budget entretien en adéquation. En suivant ces conseils, vous maximiserez vos chances de savourer pleinement la dolce vita au volant de votre Maserati, sans vous retrouver en panne ou ruiné par les factures.


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