Alors que je vivais au rythme des nuits et des soirées de l’été, je fus interpelé. Un sale individu vint me perturber. Dacia voulait en effet me capter. Les vacances battaient leur plein, mais la rentrée se rapprochait. Il fallait que je m’y résolusse. Mes poches avaient été frappées par la canicule. Le rationnement était de mise, mais ce bougre voulait me faire sentir libre. Du moins, pendant les quelques minutes de la présentation du MANIFESTO.
Pas le choix… Me voici en banlieue parisienne, entouré d’une jolie ânesse brayant son appétit pour le charme de son âne. Un cadre bucolique qui, in fine, dévoilait ce que j’allais découvrir. Du bucolique, de l’évasion et surtout de la liberté.