Si l’on devait résumer la McLaren W1, disons que c’est un peu comme si les ingénieurs de Woking avaient décidé de faire une promenade en F1 un dimanche, mais avec des plaques d'immatriculation et un autoradio. Et bien sûr, quand McLaren s’essaye à la balade de rue, on obtient une machine qui, d’une manière ou d’une autre, passe du boulevard à la piste en un clin d'œil. Une magie rendue possible par la parfaite alchimie entre un V8 hybride gavé de 1275 chevaux et un poids minimaliste de 1399 kg. Rien de spectaculaire. Juste les faits.