La nouvelle TESLA Model S est peut-être illégale …

TESLA Model S, un avion de chasse !

En début de semaine dernière, Tesla nous a surpris avec cette nouvelle génération de Tesla Model S et Model X. Les deux modèles ont subi un léger lifting esthétique, mais propose surtout une version de folie.

On ne sait comment, mais les ingénieurs de la firme, ont réussi à produire une écurie pouvant atteindre jusqu’à 1100 chevaux de son système de propulsion électrique. Une orde sauvage qui serait capable de pousser la berline de 0 à 100 km/h en seulement 2,1 secondes. En sus, cette Tesla Model S, serait capable de parcourir jusqu’à 840 km sur un plein… c’est stupéfiant !

Ceci dit, c’est le changement techniquement le moins radical qui attire les regards. Vous l’aurez compris, on parle du nouveau volant. En effet, on se croirait à bord de K2000 ou devant le manche d’un avion de chasse. De plus, les commandes sont également modifiées de manière drastique. Il n’y a plus le commodo pour les clignotants ni de le sélecteur de boîte de vitesses.

Une folie qui est en réalité, est murement réfléchie par Tesla. En effet, les Model S et Model X devraient pouvoir actionner d’elles-mêmes les clignotants et même activer la boite de vitesse en se basant sur l’Intelligence Artificiel. Celui a été conçue pour élaborer une stratégie de « roulage » grâce l’analyse de son environnement et de la navigation.

Par exemple, vous êtes à un croisement, et votre GPS vous dit de tourner à droite. L’ordinateur active donc le clignotant de droite. Vous êtes garé dans un garage, Il y a à mur devant vous. L’IA détermine donc qu’il faut enclencher la marche arrière.
Bien heureusement, pour les plus récalcitrant de la technologie, Tesla a prévue boutons tactiles sur la console permettant de sélectionner soi-même le rapport de vitesse. Pour les clignotants, il suffit de les commander via les boutons tactiles au volant.

Disruptif… mais peut-être trop ?

Si, je suis particulièrement enthousiaste, il semblerait que les autorités Américaine, le soit un peu moins. En effet, nous apprenons que l’organisation américaine de sécurité routière, la NHTSA, soit en train d’étudier de manière approfondie ce nouveau. C’est bien lui qui pose le plus de problème de conformité aux règles.

Pour en avoir le coeur net, nous nous sommes reproché des autorités compétente de l’hexagone. Or, ce qui ressort de nos entretiens, c’est que «  Tesla devra soumettre un dossier à l’un des États membres qui examinera ensuite l’ensemble du dossier, y compris la forme du volant. » Mais ce spécialiste, nous dit également que « les règles ne semble pas impliquer d’objection à un volant de se type. Mais la décision finale dépendra donc de l’autorité où Tesla ira déposer le dossier d’homologation ».

Nous voilà donc suspendu à l’homologation faite par Tesla sur le vieux continent. Mais nous, on adore rien que l’idée. Reste à savoir si, elle est conduisible dans la vie de tout les jours.