Nouveau Toyota C-HR 2 : déjà conquis par le nouvel opus… ?

Le sigle C-HR signifie « Coupé High Rider », et pour nos amis québécois et de l'Académie française, nous vous proposons sa traduction en français : « Coupé surélevé dynamique ».

Dès l'ouverture des portes via la télécommande, l'on reste absorbé par l'animation lumineuse qui s'anime à l'arrière de la voiture.
Aussitôt, on découvre la mention Toyota C-HR sous forme d'un logo lumineux. Ça y est, c'est officiel et enfin autorisé en Europe !

Ce SUV chic, au-delà du succès commercial lors de sa première génération, est des plus hypnotisants. Car on l'imagine parfaitement s'intégrer dans le paysage routier états-unien, et plus spécifiquement à New York. Et pourtant, il ne sera plus renouvelé aux US, ni même au Canada.

Fait en Europe, pour l'Europe

Cet emblématique chic se destine désormais au marché européen. Et pour cause, il sera fabriqué à l'usine Toyota de Sakarya, non loin d'Istanbul.
Pénétrons à l'intérieur de la nouvelle version de celui qui a séduit de nombreux aficionados de MINI pour venir chez Toyota.

On note immédiatement les baguettes lumineuses dont la lumière varie en fonction de la température de l'habitacle. Plus il fait froid, plus l'ambiance lumineuse sera dans les bleus ; plus il fait chaud, plus les tons oscillent dans le rouge. Le panachage de couleurs se décline également en fonction de l'heure de la journée.
Les baguettes côté portière clignotent même de rouge pour vous prévenir de l'arrivée d'un véhicule : c'est l'avertisseur Safe Exit Assist qui vous évitera de belles déconvenues.

La principale nouveauté de ce Toyota C-HR réside dans le toit panoramique dépourvu de volet. Un imposant plafond de verre traité spécifiquement contre les infrarouges. Cela a pour effet de filtrer la chaleur, et inversement en hiver, de la conserver dans la voiture et a fortiori de gagner en poids.

Le constructeur japonais annonce une nouvelle boîte de vitesses, Shift-by-wire, reliée à un moteur 2 l hybride qui développe 197 chevaux.

Un soin délicat du constructeur japonais qui pousse la délicatesse dans les détails intérieurs, joue sur les symétries, et va même pousser les limites du design et de l'architecture dans ses retranchements. Cela crée un dessin singulier où les lignes d'une automobile se croisent avec une architecture « diamant », qui ne lésera aucun de ses clients. Son confort à bord a été élaboré dans un souci des plus altruistes. Ainsi, tous les éléments de conduite, écran de bord, entre autres, sont orientés vers le conducteur.
De belles annonces enthousiastes qui nous donnent l'envie d'être déjà en 2024 pour vérifier toutes les prouesses de ce SUV compact destiné à une clientèle premium.
Alors, on se donne rendez-vous en 2024, l'année des Jeux olympiques, mais surtout de la sortie du C-HR en janvier. L'année risque d'être sport !

Vidéo © Cetadi Prod – Bruno de Faria-Lopes