Un meilleur feeling
Tout comme l’Insignia 2014, la Country Tourer profite des dernières évolutions du vaisseau amiral allemand. Pour progresser en tenue de route, le châssis a été renforcé, tandis que les liaisons aux sols ont été revues en profondeur. Résultat, cette Insignia Country Tourer vire facilement, malgré son poids conséquent dû à la transmission intégrale et sa garde au sol rehaussée. Nous avons été surpris par le confort qui progresse franchement, alors qu’il était le point faible de l’ancienne génération d’Insignia. Mais en même temps nous n’avons peu faire qu’une centaine de bornes à son volant. Cela demande confirmation, lors d’un test plus approfondi.
On repense le cockpit
Dans l’habitacle, le Country Tourer profite de la toute dernière technologie embarquée de la marque. Autant le dire de suite, c’est une révolution technique pour Opel qui abandonne enfin les tableaux de bords surchargés de boutons, au profit d’un écran tactile qui commande l’ensemble du système d’info-divertissement. Cerise sur le gâteau, l’engin gagne un pavé tactile et un écran de 8 pouces derrière le volant regroupant les infos essentielles de la navigation : très efficace.
Un brin baroudeur
Selon les stylistes, l’Insignia Country Tourer a été dessinée pour « affirmer ses prétentions d’aventure ». Sous ce jargon de Designer, il faut comprendre que ce tout chemin se distingue par de généreuses moulures habillant les passages de roues, des bas de caisse spécifique, des protections du soubassement à l’avant et à l’arrière, le tout complété par des doubles sorties d’échappement. Voilà de quoi, la différencier du reste de la gamme.
Seulement du diesel
Vendu chez nous comme le haut de gamme cette Insignia Country Tourer reçoit deux moteurs carburant au mazout. L’offre commence par un 2 litres turbo à injection directe de 163 chevaux capable de recevoir en option une boite automatique. L’autre motorisation est le nouveau 2.0 BiTurbo CDTI hautes performances délivrant un remarquable couple maxi de 400 Nm pour 195 chevaux. Malheureusement, sur notre essai les Allemands nous avaient mis à disposition un 2 litres turbo essence de 250 chevaux, non disponible…
Une viré dans les champs
Avec sa garde au sol qui a grimpée de plusieurs mm et sa transmission à quatre roues motrice, le Conutry Tourer peut s’affranchir des limites de la ville pour les chemins de campagne. Ce système 4x4 est piloté électronique et s’adapte en permanence au type de revêtement rencontré. Il fait varier la répartition de couple de zéro à 100% entre les essieux avant et arrière, ainsi qu’entre les roues arrière. Le principal avantage est que tout ceci se passe avant même qu’une roue commence à patiner en raison du manque d’adhérence, quand par exemple la route est mouillée ou enneigée.
Place au comparatif technique entre l'Opel Insignia Country Tourer BiCTDI BVA et l'Audi A4 Allroad TDI 177 S tronic :
Après la nouvelle Peugeot 3008, c'est désormais au tour d'Opel et de son modèle Grandland de bénéficier de la nouvelle plateforme technique du grou... Voir plus
Pour évoquer le premier Opel Frontera, il faut remonter à une époque où les téléphones portables étaient un luxe et l'internet naissant une curiosi... Voir plus
L'arrivée de l'Opel Astra hybride 48 volts marque une nouvelle étape dans l'évolution de la gamme de la marque allemande, déjà réputée pour sa dive... Voir plus
2020 59723 km Automatique Essence
2023 15472 km Automatique Essence