La Mégane troisième génération change littéralement de style. Elle est un peu plus grande et monte en grade au niveau des équipements disponibles, pourtant elle est plus légère.
La Mégane III est très attendue au salon de Paris. Elle affrontera de nombreuses nouveautés dont la Volkswagen Golf VI. Le dessin de la berline française joue à la fois sur les lignes tendues et les courbes. Ce que le constructeur appelle une association de lignes fluides et de formes pleines . Un style en rupture totale avec la Mégane II qui, elle-même, s'était totalement décalée de la première Mégane. L'habitacle ne change pas uniquement de look mais aussi le sentiment de qualité grâce à l'utilisation de nouveaux matériaux. La nouvelle Mégane joue aussi la carte de la sécurité en héritant des doubles capteurs de choc latéral et d'airbags thorax/bassin introduits récemment sur la nouvelle Laguna. De plus, elle se soucie de l'environnement puisque quatre motorisations se trouvent sous ou juste sur la barre des 120 g de CO2.
La Renault affichera 4,30 m de longueur pour un empattement de 2,64 m. La Mégane III reçoit des voies larges (1,55 m) pour lui donner une certaine assise. Tout le châssis a été repensé. Ainsi, le train avant de type pseudo-MacPherson est relié à un berceau à cornes remodelé. L'essieu arrière est également retravaillé. Tout comme la direction assistée. Renault insiste également sur les capacités de freinage de la berline : ainsi, avec ses disques ventilés de 296 mm à l'avant et 260 mm à l'arrière, elle freine sur 37 m pour passer de 100 km/h à l'arrêt. Elle hérite aussi de nombreux équipements tels le frein de parking assisté, la carte d'accès et de démarrage mains libres, le Bluetooth et un système audio 3D. Question pratique, le coffre offre un volume de 405 dm¬?.
La Française reçoit de nombreux moteurs. En turbo Diesel, on trouve les dCi 85 et dCi 105 déjà connus, complétés par les dCi 90 et dCi 110 avec filtre à particules. Ces quatre motorisations émettent au plus 120 g de CO2/km. Le nouveau moteur dCi 130 affiche sa puissance maximale de 96 kW (130 ch) dès 3750 tr/min contre 4000 tr/min pour son prédécesseur. Pour le couple de 300 Nm, il gagne aussi 250 tr/min en étant disponible à partir de 1750 tr/min. Ces résultats sont liés à un travail sur la combustion et la suralimentation. Ce qui permet aussi au dCi de limiter ses rejets à 135 de CO2 par km. Les dCi 160 et dCi 150 BVA viendront s'ajouter par la suite. En essence, l'offre dépendra des pays. La palette complète compte les 1.6 16v de 100 ch et 110 ch, le 2.0 16v de 140ch et le TCe 180. Ce dernier ne sera pas proposé en Belgique. Notre pays ne profitera pas non plus des solutions fonctionnant au bioéthanol, du moins tant que ce carburant ne sera pas disponible chez nous. Ensuite, le moteur TCe 130, downsizé, un 1,4 l de 130 ch et 190 Nm, sera proposé dès le printemps 2009.
Renault revient en force avec sa mythique R5, désormais rebaptisée Renault 5 E-Tech Electric, une proposition ambitieuse dans la catégorie des citadin...
Voir plus
Après un édition 2022 en demie-teinte, échaudée par les anti-voitures de la mairie de Paris et essayant de meubler du mieux qu’elle le pouvait, l’édit...
Voir plus
Renault a décidé de réveiller un fantôme. Oui, vous avez bien lu. La Renault 5, celle-là même qui roulait fièrement sur les routes françaises il y a q...
Voir plus
L’actualité 2024 Renault est chargé en nouveauté et dernièrement en émotions avec les récents essais de la R5 qui a mis toute la profession d’accord. ...
Voir plus
Alors voilà, Renault a décidé de relancer la machine à nostalgie. Prenez un modèle qui a bercé toute une génération de conducteurs, ajoutez-y une bonn...
Voir plus
Alors voilà, après des mois de spéculations et de nostalgie à deux sous, elle est enfin là : la Renault 5 E-Tech Electric. Mais la question brûlante, ...
Voir plus